Les investisseurs qui cherchent des raisons d'être optimiste après la pire boursière sell-offdepuis la crise financière de 2008 ne sera probablement pas le trouver dans de vendrediJuillet rapport sur l'emploi.
Les économistes prévoient que les employeurs ajouté que 90 000 emplois le mois dernieret que le taux de chômage est resté inchangé à 9,2 pour cent, selon un sondage réalisé par FactSet.
Cela marque une amélioration par rapport au 18 000 emplois nets créés en Juin - le moinsen neuf mois - et les 25 000 en mai. Mais au fil du temps, 90 000 nouveaux emplois par mois ne serait même pas assez pour maintenir le taux de chômage de grimper. Il ne serait pas effacer les craintes de Wall Street que les États-Unis peut être sur le point d'une autrerécession.
Au moins 125 000 emplois par mois sont nécessaires pour suivre la croissance de la population. Deux fois plus nombreuses sont généralement associées à des baisses significatives du taux de chômage, qui a augmenté pendant trois mois consécutifs.
Les économistes de Bank of America Merrill Lynch estiment qu'il ya une chance de 35 pour cent d'une autre récession l'an prochain.
Ces craintes et les préoccupations croissantes au sujet crise de la dette de l'Europe a envoyé des marchés boursiers en chute libre jeudi. Le Dow Jones Industrial Average a chuté de près de 513 points, sa plus forte baisse depuis octobre 22, 2008.
Depuis Juillet 21, le Dow Jones a clôturé en baisse dans neuf des dix derniers jours de bourse. Tous les trois principaux indices boursiers ont chuté de 10 pour cent ou plus de leurs sommets précédents.
L'accord conclu cette semaine à Washington pour élever la limite d'emprunt de la nation a échoué à endiguer la vente. Bien que les investisseurs ne sont plus inquiets que le gouvernement américain aurait défaut sur sa dette, un nouveau lot de données ont montré que l'économie était dans un état pire que beaucoup avaient pensé.